Investir dans l’immobilier pour améliorer sa retraite

La retraite est un changement de vie qu’il vous convient de préparer au mieux afin de pouvoir profiter pleinement de vos vieux jours. En investissant dans l’immobilier à Grenoble, vous pourrez avoir plus de revenus disponibles une fois à la retraite et être ainsi beaucoup plus à l’aise financièrement.

Première étape : devenir propriétaire de sa résidence principale

Être propriétaire de son logement au moment de la retraite permet de ne plus avoir d’échéance de prêt à rembourser ni de loyer à payer. Ces charges pèsent de façon considérable dans le budget des retraités. Idéalement, il faudrait donc pouvoir devenir propriétaire de sa résidence principale avant la retraite afin d’avoir plus de revenus disponibles.

Certes, il y aura toujours des charges et des impôts à payer mais le coût global sera considérablement diminué. C’est pourquoi le premier objectif en immobilier est d’acquérir sa résidence principale.

Pour ce faire, le modus operandi est généralement le suivant : faire l’acquisition d’un logement vers 30 ans puis en acquérir un plus grand entre 40 et 50 ans en utilisant l’argent de la vente du logement précédent. Cela permet d’être propriétaire d’un logement plus confortable et spacieux au moment de la retraite tout en ayant plus de revenus disponibles.

Si vous en avez les moyens, vous pouvez également vous tourner vers l’investissement locatif après avoir acheté une résidence principale qui vous convienne.

Seconde étape : investir dans l’immobilier pour louer

Pour ceux qui souhaitent obtenir un complément de retraite, l’acquisition d’un ou plusieurs appartements dans le but de les mettre en location est une très bonne solution sur le long terme. Cela vous permettra d’avoir un revenu complémentaire qui sera perçu chaque mois une fois que le prêt sera remboursé.

De plus, il ne faut pas oublier que même lorsque vous remboursez le prêt, vous gagnez de l’argent ! En effet, chaque loyer perçu est de l’argent mis de côté puisqu’il sert à payer un bien immobilier dont vous serez propriétaire. Cela revient à mettre de l’agent de côté tous les mois.

Il est également important de noter que certaines charges sont déductibles de vos revenus fonciers, telles que : les honoraires des agences immobilières, les assurances, les taxes, les intérêts d’emprunt et le coût des travaux. 

Par ailleurs, certains dispositifs fiscaux comme le Duflot ou le Pinel permettent de baisser les impôts grâce à l’amortissement chaque année d’une partie du prix d’achat du bien. Les dispositifs de défiscalisations vont grandement varier en fonction de la localisation du bien, de son ancienneté, du type de bien ou encore de si vous louez meublé ou non.

Les solutions moins classiques

Si le patrimoine acquis n’est pas suffisant pour assurer des revenus corrects au moment de la retraite, il y a quelques solutions à envisager selon la situation spécifique du foyer :

  • La location d’une pièce de la résidence principale si celle-ci le permet et dans la mesure où la demande existe ;
  • Le prêt hypothécaire in fine remboursé au moment de la vente du bien et garanti par celui-ci si le propriétaire est âgé de plus de 65 ans.
  • La transmission de la nue-propriété du bien aux héritiers tout en en concevant l’usufruit. Les charges liées au bien seront alors supportées par les nues-propriétaires mais leurs droits de succession seront peu élevés voire nuls ;
  • La vente en viager occupé afin de toucher une somme, le bouquet, et de percevoir une rente viagère chaque mois tout en restant dans les lieux.

Il apparaît donc que ces solutions de « rechange » postulent toutes que le retraité est propriétaire de son logement, ce qui reste donc l’objectif numéro un à viser pour préparer sa retraite.

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